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Le 12 décembre, une demi-journée dédiée à la prise en charge non médicamenteuse de la douleur aura lieu à l’Hôpital privé Jacques Cartier (Massy). L’occasion de faire découvrir aux patients présents, les différentes techniques non médicamenteuses de prise en charge de la douleur, au cœur des préoccupations des établissements de santé.

 

La prise en charge de la douleur est devenue une priorité de santé publique depuis la loi du 4 mars 2002 qui la considère comme un droit fondamental de chacun[1]. Le 12 décembre, anesthésistes, infirmières, sophrologues et infirmières spécialistes de la douleur de l’Hôpital privé Jacques Cartier se réuniront pour faire découvrir aux patients des méthodes douces, favorisant le confort et la relaxation.

 

« L’objectif est de sensibiliser les usagers à des méthodes de médiation corporelle proposées en parallèle des traitements médicamenteux, pour une prise en charge globale du patient », explique Marie-Hélène Aillet, directrice des soins.

 

Des stands sur la kinésiologie, la sophrologie, la réflexologie, le reiki et l’hypnose se tiendront dans le hall de l’hôpital. Des disciplines dédiées au bien-être physique, psychique, affectif et relationnel. Sur chaque stand, un professionnel sensibilisera les visiteurs à l’importance de la dimension corporelle dans le cadre d’un parcours de soin. Ces méthodes peuvent aussi servir aux aidants, ces proches qui accompagnent les patients pendant leur parcours de soins et qui sont souvent sujets au stress et à la fatigue.

 

« Nous souhaitons montrer aux patients que l’hôpital n’est pas un lieu exclusivement centré sur la prise en charge médicamenteuse. En tant que soignants, nous avons à cœur de nous ouvrir aux besoins des usagers et de leur entourage, et de soigner toutes les douleurs, qu’elles soient physiques ou psychiques », conclut Marie-Hélène Aillet.